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" Tu aimeras ton prochain comme toi-même " Matthieu; chapitre 22,verset 39

Comme le nom l'indique,cette section concernera l'entraide,l'aide entre individus quelque soit le domaine.Une personne est seul (par rapport au singulier) mais une personne + une personne + une personne … forment une communauté et les communautés forment la société.L'Homme est un animal social et solitaire à la fois mais dans notre monde nous vivons tous ensemble en conséquence nous dépendons des uns des autres.Paradoxalement au fil des siècles hommes se sont battus entre eux tout en s'entraidant pour pouvoir évoluer et prospérer.Quel que soit le système économique et polique en question comme totalitariste,capitaliste,communiste,socialiste ou libéraliste,ils se reposent tous sur le principe du bien commun mais chacun a sa vision des choses du mot "commun"

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Bien loin de la paix social de la société et de la nature intrinsèque humaine,l'entraide peut simplement englober deux individus pour des choses simples.Comme le fameux exemple du charpentier qui construit la maison du médecin qui le guérira ou bien des tâches quotidiennes comme quelqu'un qui bricole chez une tierce personne qui lui gardera ses enfants ou lui fera à manger.Je parle bien d'entraide et non d'une simple aide à sens unique,on peut aider par générosité et par notre éducation,une entraide est un échange mutuel.Dans son acception générale, la solidarité caractérise des personnes qui choisissent ou ressentent une moralité d'assister une autre personne et réciproquement. La solidarité se distingue de l'altruisme: l'altruiste peut souhaiter aider autrui sans pour autant se sentir concerné par ce qui lui arrive, et inversement on peut se rendre solidaire d'autrui simplement par intérêt bien compris (attente d'une réciprocité) et non par altruisme.

L'entraide a toujours existé mais dans notre monde moderne elle n'a jamais vraiment été structuré.Avec l'essor de la nouvelle technologie comme Internet et la télécommunication,on est passé à du simple bouche à oreille à de la communication de masse beaucoup plus globale et plus vaste.Par ce fait,de nombreux domaines ont été améliorés dont l'entraide entre groupe d'individus qui a donné naissance à une nouvelle façon de consommer,d'échanger et de vivre : la consommation collaborative.

La consommation collaborative est un modèle économique dominé par l'usage plutôt que par la propriété,c'est-à-dire qu'un bien ou un service se retrouve davantage partagé,échangé,loué entre les individus. Les secteurs phares de la consommation collaborative sont :
- achat / prêt / location d’objets entre particulier
- L'autopartage tel le covoiturage
- L'hébergement entre particuliers
- L'échange de compétences,de savoirs ou de services.

 

Les plateformes digitales ont un rôle à jouer dans son essor à plusieurs niveaux : créer un environnement de confiance pour les échanges entre particuliers, porter les valeurs responsables des consommateurs et faciliter une forme de proximité, voire de solidarité, dans une société de plus en plus individualiste.

Le rôle des plateformes est de mettre en relation des individus pour faire se rencontrer l’offre et la demande, et de proposer un environnement fiable et sécurisé à leurs échanges. Gestion des informations des utilisateurs, outils d’évaluation et de satisfaction, solutions de paiement… : tous ces services permettent de fixer un cadre de confiance aux pratiques collaboratives, entre des individus qui ne se connaissent pas et qui ne sont pas liés par contrat. Bien sûr ce cadre n’empêche pas qu’il puisse y avoir des litiges à la marge, mais l’expérience rend les plateformes plus professionnelles, et leur permet d’engendrer un excellent taux de satisfaction, à l’instar d’airbnb par exemple. Cet environnement de confiance ne pousse d’ailleurs pas les utilisateurs à être moins vigilants ou exigeants. La figure du consommateur semble changer dans la durée : il ne souhaite ni révolutionner le système, ni en être un simple rouage, mais se veut un acteur éclairé et engagé dans ses choix au quotidien

 

Aujourd'hui, la consommation collaborative embrasse la recherche individuelle et collective de comportements plus durables et respectueux de l’humain et de la planète. Donner une seconde vie aux objets, partager des bons plans ou échanger des savoir-faire et des ressources : le consommateur collaboratif  met en pratique ses valeurs, qui donnent plus de sens à ses échanges.On leur a donné le nom de "consommacteurs" (mélange du mot consommateur et acteur). Toute une palette de motivations pousse à consommer moins et mieux, ou en tout cas différemment.  Il y a quelques années encore une pratique marginale, le troc a fait son grand retour sur internet et localement. Qui sait quelles seront les pratiques de ces nouveaux types de consommateurs ? Sur le terreau fertile de ces nouveaux usages et de ces valeurs partagées, les initiatives offrant des moyens et des outils pour les mettre en œuvre, foisonnent. Il appartient à chacun individuellement de juger lesquelles sont honnêtes  dans leur démarche, et permettent petit à petit de changer les comportements.

 

Tout au long du vingtième siècle, sous l’effet de l’urbanisation et du développement de la consommation de masse, consommer est devenu un acte de plus en plus anonyme, engageant peu de sociabilité entre l’acheteur et le vendeur. Et pourtant, la nostalgie des conversations de voisinage dans une petite boutique ou le souvenir d’enfance du fermier qui parle de ses produits frais  –pour les plus chanceux d’entre nous – nous pousse à chercher des relations avec un petit supplément d’âme, au-delà de la simple transaction marchande.

Les usages digitaux permettent de créer une nouvelle forme de proximité décloisonnée géographiquement et socialement, qui est certes très différente de la sociabilité d’antan. Organiser un vide-grenier virtuel, proposer ses créations artisanales au-delà du cercle proche ou donner une seconde vie aux accessoires et vêtements des enfants qui ont grandi, peuvent être l’occasion de partager des intérêts communs, une histoire ou des tuyaux utiles. Il n’y a un qu’un pas entre cette proximité relationnelle entre pairs et les solidarités numériques, incarnées notamment par le financement participatif ou le mécénat de compétences.Les plateformes digitales ont leur place dans la relation entre deux individus, à condition qu’elles mettent l’humain au centre de leur projet

Mais ceci n'est pas une simple pub pour la CB,juste un exemple pour voir ce que peut donner l'entraide sur le long terme et une vaste échelle.Voilà ce qui serait proposer pour le site,les utilisateurs pourront se solliciter pour de l'aide de toute sorte des tâches banales comme un déménagement,une assistance aux devoirs,régler un problème en particulier ou des choses plus spécifiques comme se faire épauler et recruter pour un projet qui nous tient à coeur.Conseil est bon, mais aide est encore mieux.

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